Collection Jeune – Vieux. Tout Ça À Cause D’Un Poignet Plâtré (1/3)

• Françoise, je t’en conjure, accepte de recevoir Gratien chez toi après ce qui vient de nous arriver !
• Angelle, tu connais ma situation, comment je vis et avec qui je vis, ça pourrait choquer mon filleul !
• Tu es avec Agnès depuis combien de temps, dix ans, Gratien avait six ans quand tu nous as annoncé ton coming-out.
À cette époque que tu me dises qu’il était trop jeune pour comprendre que ma sœur est une gougnotte qui vit avec une femme, j’aurais pu l’admettre !
Alors que maintenant s’il pose des questions à maman sur ce qu’est un gode ceinture, elle aura plus facile à lui répondre.
C’est un peu ce qu’il lui a demandé il y a quelques mois.
Aujourd’hui il va sur ses 18 ans, alors je peux t’assurer qu’il sait que sa tante est lesbienne.
Quand tu as rencontré Agnès, c’était ta colocataire.
Quand vous vous êtes mise ensemble, vous couchiez dans deux chambres différentes et maintenant vous partagez le même lit.
Vous avez donc une chambre dans laquelle il est susceptible de coucher.
Tu connais notre projet avec Jean, nous nous entrainons depuis presque deux ans et tout est réservé pour notre ascension du mont Blanc la semaine prochaine.
Pour Gratien, on a pu se faire rembourser à la suite de son accident, c’était dans le contrat d’assurance.
Mais pour nous après avoir tout essayé, même de reporter, les frais engagés seront perdus.
Nous avons envisagé qu’il reste seul, mais il faut se rendre à l’évidence, je l’ai mal élevé et il est incapable de se débrouiller par lui-même.
Avec son avant-bras plâtré, il est dans l’impossibilité de faire les gestes de la vie courante.
• Bon, j’ai compris, amène-moi Gratien, je m’arrangerai au retour d’Agnès.
• Nous serons là dans quatre heures, le temps de finir sa valise.
Grenoble est sur notre chemin,

Voilà, le décor est planté, un filleul de bientôt 18 ans, l’avant-bras plâtré qui vient déranger notre vie, si bien rangée entre Agnès, mon amante et moi.


Agnès est commerciale multicarte et part du lundi au jeudi vendre ses produits.
Pour ma part, je fais des programmes informatiques à domicile, principalement des sites de société que je mets aussi à jour.
Nous gagnons bien notre vie et à part notre manque d’ autant l’une que l’autre nous sommes heureuses de nous être retrouvées.
Comme l’a dit Françoise, ma sœur aînée, j’étais en colocation avec Agnès.
Nous avions chacune notre chambre et nous partagions les lieux communs.
Nous aimions le soir après nous être relayées dans la salle de bain nous retrouver en pyjama pour moi et chemise de nuit pour elle dans le canapé à regarder la télé.
D’habitude, chacune de nous restions sagement dans notre coin, Agnès avait un défaut, elle aimait se faire peur.
« Massacre à la tronçonneuse », c’était le film qu’elle avait loué et placé dans le magnétoscope.
Sans que je m’en rende compte, elle s’est rapprochée de moi en se mordant le poing.
Un moment où une araignée détachait un morceau de chair avec ses mandibules, elle est venue se cacher la tête dans mon épaule.
Elle se cachait, regardait et recommençait.
Je sentais son souffle chaud sur ma peau et ça me faisait couler à la hauteur de ma chatte.
Qui a donné sa bouche à l’autre, impossible de le dire et rapidement elle a glissé sa main dans la ceinture de mon pantalon.
J’aurais pu la repousser, mais je mouillais de plus en plus, mon clitoris, j’ai joui autant qu’une femme pouvait jouir sous les doigts de sa compagne.
Le film terminé, c’est moi qui me suis laissée glisser entre ses jambes.
Elle a relevé sa chemise de nuit me montrant sa chatte épilée.
Lorsque je me suis approchée, j’ai vu qu’elle avait un tatouage entourant son vagin.
C’était un serpent, ça m’a fait tout drôle cette première fois lorsque ma langue l’a suivi jusqu’à sa tête entourant son clito.
Elle m’avait caressé le mien, c’est dans ma bouche que je l’ai mis, il était assez grand pour que mes lèvres le saisissent.

Rapidement comme pour moi elle a joui.
Nous sommes allées nous coucher, au matin lorsque je me suis réveillée, j’avais mon nez dans sa foune et elle dans la mienne.
Nous avions dormi tête-bêche et je peux dire que ça fait bizarre d’avoir deux yeux ronds et fendus qui vous regardent.
J’ai envoyé de petit coup de langue espérant réveiller son serpent tatoué.
Rapidement j’ai senti les mêmes petits coups à l’opposé et c’est ainsi que nous avons roulé de nouveau dans le lit
Ces lits qui à partir de ce jour ont été divisés par deux, mon lit étant plus grand que celui d’Agnès et permettant à Gratien de me rejoindre dans ce que nous considérons comme notre chambre d’amis.

• Entre Gratien, bonne route petite sœur et toi aussi Jean mon beau-frère préféré, allez vaincre le toit de l’Europe !

C’est ainsi qu’après avoir déposé ses bagages, nous nous sommes retrouvés sur mon balcon à parler de ses études et surtout pour cette année de son bac de français. Matière où il déchire, il veut devenir prof.
C’est sur ce balcon à l’ombre à cette heure que nous avons dîner.

• Veux-tu regarder la télé avec moi ou préfères-tu aller lire dans ta chambre.
• Il y a « retour pour le futur », si tu regardes !

Je l’ai déjà vu, mais pour rester proche de ce filleul que je vois si peu souvent, j’accepte de le revoir sans lui dire.

• Tu vas te doucher avant, je vais finir le travail sur le site d’un de mes clients prend ton temps, notre film débute dans 55 minutes.

Je vois ce grand garçon partir, il est devenu beau gosse, mon filleul, nul doute que, dans peu de temps il va faire souffrir plus d’un cœur féminin.
À moins qu’il soit homo bien qu’avec ses muscles qui se développent, il fait penser à tous sauf à une tarlouse.
Je travaille sur mon portable après lui avoir donné une serviette quand j’entends !

• Marraine peux-tu venir ?

Je viens derrière la porte de la salle de bains.


• Peux-tu venir, j’ai un problème !
Entre !

J’entre la porte étant juste fermée.

• Mais tu es tout nu !
• Tu m’as assez vu étant petit, j’ai un problème avec ce plâtre et une seule main, il est impossible de me laver le bras en l’air.
• Chez toi, quelqu’un t’aide !
• Oui, maman.

À trente ans, dix de moins que ma sœur, j’ai vu des choses, car je suis bi-sexuelle, mais des engins de cette taille, surtout au repos, c’est incroyable.

• Peux-tu me décalotter que je me lave comme il faut, lorsque j’étais petit garçon, elle m’a appris à bien sortir mon gland pour bien me nettoyer.

C’est dit si simplement qu’à aucun moment l’idée que Gratien ait des idées cachées malsaines me vient à l’esprit.
Je sais bien qu’un garçon à moins qu’il ait été circoncis doit se décalotter pour enlever la purée qui pourrait si accumuler.
Ma sœur a appris l’hygiène à son fils et c’est une bonne chose.
Je le prends en main et je tire avec mon autre main.
Ce qui arrive est presque instantané.

• Mais tu commences à bander, tu devrais avoir honte, je suis ta tante !
• Ta main est si douce marraine.

C’est dit de façon si puérile qu’à aucun moment l’idée qu’il essaye de me piéger me traverse l’esprit.

• Arrêt, Gratien, je suis une dame et il est interdit de bander devant une dame.
Est-ce que tu bandes avec la main de ta mère, allez dépêche, lave-toi que je te lâche.
• Avec maman, non, c’est maman, mais avec toi je suis fière de te montrer que je suis un homme.

Comment à un moment cela se fait, je suis dans l’impossibilité de le dire ?
Si, peut être une solution avec Agnès.
Avant qu’il mette le savon, j’avance ma bouche tout en le masturbant.
Son gland est proportionnel à sa verge, j’ai du mal à ce qu’il entre dans ma bouche.
Est-ce possible, moi sa tante, je suce mon filleul avec envie, elle est tellement belle, il est tellement beau et il peut être une solution.

Comment je me retrouve sur mon lit, mon cerveau pourrait le dire, mais moi pas ?
Le brouillard dans ma tête est total, je devrais le repousser même s’il faut le taper pour ça, mais qui de moi ou de lui ôte mes vêtements.
C’est quand j’ouvre mon compas pour qu’il entre en moi que je reviens sur terre.
Hélas, non, quelle chance, il est déjà en moi, bien au fond.
Elle est si longue que je la sens frapper mon utérus.
Mon dieu quel homme, naturellement mes jambes se retrouvent sur ses hanches afin qu’il reste bien fiché en moi.
À ce moment Agnès est bien loin de mes pensées et notre gode ceinture rangée dans la table de nuit.
Gratien cherche ma bouche, je trouve ça indécent et je cherche à lui refuser.
Comme ma chatte si bien remplie et que je sens partir vers des sommets jamais atteints, je finis, elle aussi par lui donner.
Sa langue et ma langue se mélangent, un reste de pudeur familial atteint jusqu’à mon cerveau.
La décharge montante, montante, montante, que les allées et venues dans ma chatte me font céder définitivement.
Je viens de devenir l’amante de mon filleul...

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